Son grand manteau sur les épaules, un grand chapeau sur les yeuxLe vieux cow-boy était fatigué, toute la journée, il avait chevauchéEh, Joss ! Où t-en vas-tu ? Sur ton cheval ainsi montéEh, Joss ! Où t-en vas-tu ? Sur ton cheval ainsi accoutréIl arriva dans un p’tit bled, il rentra au saloonIl s’y trouvait deux bons gaillards, deux bons gaillards à tête patibulaire.Eh Joss ! Fais attention ! Ces gars là ne plaisantent pasEh Joss ! Fais attention ! Ils pourraient bien te chahuterLe premier y montra ses colts, deux beaux colts avec la crosse en nacreLe deuxième sortit son couteau, un grand couteau aux dents acérées.Eh Joss ! Que vas-tu faire ? Avec deux gars comme ça.Eh Joss ! Que vas-tu faire ? Ca risque de barder pour toi.Un coup de poing fendit l’air. Le premier se retrouva par terreUn coup de poing fendit l’air. Le deuxième but l’eau des chevaux.Eh Joss ! Tu ne perds pas de temps. Quand les gars te cherchent un peu.Eh Joss ! Tu ne perds pas de temps. Quand les gars te cherchent des noises.Son grand manteau sur les épaules. Son grand chapeau sur les yeux.Le vieux cow-boy était reparti, sifflant des airs de rien.Son grand manteau sur les épaules. Son grand chapeau sur les yeux.Le vieux cow-boy était reparti, dans la grand plaine, sifflant en l’air.Eh Joss ! Où t’en vas-tu ? Tu aurais pu rester avec nous ;Eh Joss ! Où vas-tu ? Tu aurais pu chanter avec nous.
Rien pour ce mois